Apostat Kabyle AK

Turquie: Pas de sanctions contre la violence envers les femmes

 

Une tradition bien musulmane, qui découle du coran.


Durant la période où l'islamiste Erdogan a été au pouvoir en Turquie, la violence contre les femmes a été multipliée, à tel point que même les cas les plus horribles sont devenus des pratiques ordinaires. La Turquie d'Erdogan est désormais connue pour ses "crimes d'honneur", pour les violences et les viols envers les femmes.

Dans la plupart des pays musulmans, les crimes de viol comme les violences envers les femmes ne sont que très rarement punis en proportion de leur gravité. Pour certains de ces pays, la législation est même très tolérante envers les hommes et tend à criminaliser la femme. On a récemment vu dans les pays du Golfe persique, les victimes de viols emprisonnées alors que leurs violeurs ne sont pas poursuivis. 

On a eu également le cas au Maroc de cette adolescente de 15 ans qui s'est suicidée parce que la justice lui a imposé d'épouser son violeur pour "réparer la faute".

A tous les chiffres communiqués,il faut ajouter un facteur aggravant: il est impossible de fournir des chiffres, ni même des approximations, mais il est établi que le nombre de cas de violence de toutes sortes envers les femmes est considérablement sous-estimé. C'est dû à beaucoup de facteurs, dont la "tradition", la peur des représailles, ou la honte.  




Le monde musulman est malade de l'addiction au sexe de ses mâles, malade que son gourou Mahomet ait déclaré que la femme est un "champ de labour que le mâle peut labourer quand et où il le désire" (coran 2:223), malade de l'hypocrisie concernant les relations entre hommes et femmes, malades des frustrations que les musulmans subissent à cause de règles moyenâgeuses, malades que ces frustrations en font des violeurs impulsifs, malades parce que leur gourou a décrété que la femme est par nature impure, mais qu'elle devient un objet méprisable, souillé et déshonoré  dès lors qu'un regard se pose sur elle. Pour cette raison il a recommandé aux femmes de "ramener le voile sur elles". Pour ne pas attiser les instincts bestiaux des éléments mâles de leur belle Oumma Islamiya. Car pour l'islam, voir une simple mèche de cheveux d'une femme suffit à déclencher la libido de ces animaux en perpétuel rut. 

Malades de suivre à la lettre les actes d'un gourou obsédé sexuel qui s'est marié avec sa bru Zayneb après l'avoir fait divorcer de son fils adoptif, actes incompris des Arabes non-musulmans pour qui ce geste est immoral, acte qu'il s'empressa de justifier par un verset taillé sur mesure, que l'archange Gabriel est venu lui apporter illico, fabriqué tout spécialement pour l'occasion. Pauvre archange, si pur dans la tradition chrétienne, qui en est réduit à régler les problèmes de c... d'un illuminé lubrique. 


Malades  pour avoir pris comme modèle un satyre qui a eu 12 épouses officielles et plusieurs femmes-esclaves, un débauché qui a instauré le djihad sexuel qui consiste à s'emparer de toutes les femmes et fillettes des tribus vaincues, de les violer et ensuite de les vendre au marché aux esclaves ou de les échanger contre des chevaux, des moutons ou des chameaux.
 
Malades de leur gourou qui, alors qu'il avait 54 ans, a eu des relations sexuelles avec une fillette de 9 ans, justifiant son acte par un verset là aussi "tombé du ciel" bien à propos, comme il en avait l'habitude. 
 
Qu'attendez-vous, musulmans, pour vous réveillez? Vous reste-t-il encore un peu d'humanité et de sens moral?
 
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Turquie. Pas de sanctions contre la violence envers les femmes


Par Aydinlink Dayli, journal turc

 
J'ai inclus les liens vers les autres articles (également en anglais), que propose ce journal.

Turquie, vendredi, 21 février 2014 16:50

 
Les experts se sont réunis à la Conférence sur la violence envers les femmes et les Refuges pour femmes, ils ont accusé la Turquie de ne pas protéger les femmes contre la violence.
 
 

La conférence "Violence envers les Femmes et Refuges pour Femmes"  a eu lieu dans l'Université Ankara Atatürk, animée par la Commission des Droits du Çankaya Governorship and Bar Association of Ankara. Les participants ont déclaré que les lois turques ne protègent pas les femmes contre la violence des hommes. Le sort des enfants-épouses, qui est un problème important en Turquie, a également été abordé lors de cette conférence.

La violence contre les femmes a longtemps été un problème grave en Turquie, en témoignent les nombreux rapports sur les meurtres et les mauvais traitements qu'on inflige aux femmes. Un rapport récemment publié par le journal Aydinlink sur l'histoire des femmes turques qui avaient été contraintes de se réfugier dans des abris détaille la réalité alarmante pour les nombreuses femmes qui sont victimes de violences graves. L'ONG Amnesty International rapporte que, à la fin de 2013, il n'y avait que 103 refuges pour femmes, bien en dessous du nombre requis par la loi.

En plus de cette incapacité à protéger les femmes qui souffrent de violence, le gouvernement turc est aussi couramment accusé d'avoir omis de prendre les mesures nécessaires pour prévenir cette violence. Selon l'avocat Özlem Günel Tekşen, qui a assisté à la conférence, "La loi victimise les femmes au lieu d'imposer des sanctions contre la violence envers les femmes."

Lors de la conférence, un membre de la Commission des Droits de l'Homme,  un avocat nommé Saliha Ögütçü, a communiqué les statistiques 2013 sur la violence envers les femmes. Selon ces statistiques, des 241 cas recensés de femmes exposées à la violence, 214 ont été assassinées, 167 ont été violées et 161 ont été harcelées en 2013. L'avocat a également déclaré que 853 femmes ont été assassinées durant ces quatre dernières années, 15% d'entre elles ont été tuées parce qu'elles voulaient divorcer, 66% ont été tuées par leur ex-mari ou leur fiancé". 12,5% ont été tuées par leur mari, même si elles ont déposé une plainte et ont été de ce fait placées en théorie sous la protection de l'Etat. L'avocat a mis en avant que le taux de violences envers les femmes est supérieur de 48,5% à la campagne. Les femmes ayant un faible niveau d'éducation ont aussi le risque le plus élevé: 38% d'entre elles sont victimes de violences physiques, et 22% sont exposées à des agressions sexuelles. En revanche, la proportion de femmes instruites qui souffrent de ce type d'attaque est de 8,7%.

L'experte en Intégration (et chanteuse d'opéra) Aysun Töngür a souligné que la prise de position contre la violence ne signifie pas être contre les hommes. Elle a également rappelé le cas de Kader Erten, décédée de manière "suspecte" après avoir été forcée à se marier à l'âge de 11 ans par sa famille.

Elle a également souligné que le phénomène des "enfants-épouses", que les parents obligent à se marier à un âge précoce, relève de la pédophilie [Pour beaucoup de musulmans, c'est un acte normal et naturel, puisqu'il a été pratiqué par Mahomet]. Malheureusement, c'est un problème commun en Turquie, où une étude universitaire récente a révélé que plus d'un tiers des mariages concernent au moins un mineur.
 
 


22/02/2014
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