Réponse à ceux qui traitent de racistes les apostats de l’islam.
J'ai réussi à fuir un pays où 30.000 personnes par an en moyenne trouvaient la mort dans des conditions atroces à cause de la religion que cet Etat n’a pas oublié d’inscrire dans sa Constitution. J'ai assisté à la transformation de toute la société qui compose ce pays, à son islamisation progressive, à sa transformation, tout d’abord vestimentaire, puis ensuite prosélyte, avec notamment ces prières de rues qui envahissent tout et empêchent toute vie sociale. Puis cela a continué ainsi, par des escalades verbales, puis des menaces, des actes isolés d'incivilité, des refus ostentatoires de reconnaitre toute autorité de l'Etat, des lettres de menaces envoyées à ceux qui ont le courage de ne pas céder aux intimidations, avec de temps en temps un meurtre ou deux par-ci par-là, dans une sorte de routine surréaliste. Jusqu'au déchaînement final de violence. C'est à ce moment qu’on s'en est pris à la population, sans distinction : « tuez-les tous », nous dit le coran. Et pas sûr que dieu reconnaisse les siens ! Des familles entières, des villages en totalité, parfois sous les yeux bienveillants de l’armée, ou de la gendarmerie, par impuissance peut-être, par volonté politique sûrement. C'est aussi à ce moment qu’on s'en est pris aux intellectuels, ce sont eux qui dérangent avant tout. En les faisant taire, le reste du troupeau sera plus facile à domestiquer. Les journalistes, comme souvent en première ligne. Il faut les éliminer en priorité. L’hécatombe commence pour eux, au sens littéral : comme Tahar Djaout, Yasmina Drissi, Rachida et Houria Hammadi (2 sœurs) ou encore Olivier Quemeneur, ils seront exactement 100 à tomber sous les coups de leurs meurtriers. Ces noms doivent peut-être dire quelque chose à ces beaux messieurs qui nous donnent des leçons. Les journalistes sont parmi ceux qui auront payé le plus lourd tribut, victimes de tous les lâches Mohammed Merah. Car leurs assassins auraient tous pu s’appeler Mohammed Merah. Les mêmes motivations, la même volonté de nuire, le même froideur, les mêmes références coraniques. Le même culte de la mort. Ainsi, jusqu'à la désintégration totale de cette société et à sa "déhumanisation". Des crimes abominables, comme ces bébés ou ces nourrissons lancés contre des murs, ces femmes violées puis éventrées et éviscérées, devant les membres de leurs familles, qui étaient ensuite passés au « ssif », c'est-à-dire au cimeterre. Ou au couteau à la lame émoussée, juste pour faire durer le plaisir. Vous trouvez que je suis macabre ? C’est pourtant la triste mais pure vérité.
Aujourd'hui, je vois le scénario, exactement le même, se reproduire progressivement dans mon pays d'accueil. On n’en est pas encore aux crimes de masse, mais cela ne saurait tarder, c’est la suite et la conséquence inéluctable et logique de l’apathie de tous ces intellectuels de salon qui, par leur complicité, passive ou active, peuvent nous mener à la guerre civile. Tous ces défenseurs du multiculturalisme devront tôt ou tard cesser de se laisser endormir par cette belle imagerie d’Epinal qui nous montre une société aux composantes parfaitement intégrées. Ce qui a fonctionné avec Italiens, Polonais, Espagnols, Juifs, Arméniens, Portugais, Vietnamiens, etc… ne pourra en aucun cas se réaliser avec les musulmans. Pour mille raisons qu’on retrouve dans le coran et dans les hadiths, et pour une raison principale, qui fait et fera que la mayonnaise ne peut prendre : la vocation expansionniste de l’islam, cette volonté de la quasi-totalité des musulmans de soumettre l’ensemble de l’humanité, comme l'a recommandé leur prophète.
Alors, messieurs et mesdames les politiciens, les journalistes et les intellectuels occidentaux, ne prenez pas les pages du coran pour vous en instruire (ces pages, vous les connaissez peut-être déjà, n'est-ce pas?), n’allez pas écouter ce qui se dit dans les prêches de cet « islam de France modéré» dont vous semblez si fiers, que vous croyez avoir organisé et fédéré et coupé de toute influence étrangère, continuez à faire preuve de lâcheté vis-à-vis de l’islam et vous perdrez jusqu’à vos âmes. En revanche, vous pourriez y gagner des milliers de Mohammed Merah.
Et continuez donc à me traiter de RACISTE quand je dénonce ces abominations faites au nom d'un faux-dieu et de son vrai-gourou. Vous pourriez avoir raison de me traitez de tout ce que vous voudrez, mais pas de raciste. D'une, parce que vous n'en connaissez pas la définition ou, plus sûrement, vous feignez de l'ignorer; de deux, j'aimerai bien qu'on m'explique comment on peut être raciste envers soi-même et les siens.