Apostat Kabyle AK

Régression morale en Arabie.

 

 
La morale des Arabes anté-islamiques est infiniment supérieure à la "morale" du dogme anti-humain des musulmans!

Tout d'abord, il faut savoir que le coran désigne la période anté-islamique par le terme de Jahiliya, qui peut se traduire par "période d'ignorance" ou "période de paganisme".

Donc, à l'époque de la Jahiliya, le fait pour un père de faire divorcer son fils pour ensuite se marier avec son ex-bru était considéré comme incestueux et ne venait tout simplement à l'esprit de personne.
Dans les pratiques anté-islamiques, cette conception incestueuse était notamment justifiée d'abord comme étant contraire à la morale publique, ensuite par les problèmes liés à l'incertitude concernant la paternité d'un enfant à naitre de telles unions. Cette règle est finalement proche de la morale moderne.

Mais le gourou des musulmans allait bientôt remplacer ce principe basé sur la raison et la sagesse. Pour assouvir un instinct bestial et des intêrets personnels et égoïstes, bien évidemment. En usant de son subterfuge préféré: faire descendre du ciel le verset approprié, adapté exactement à la situation, au bon moment. Un verset qui explique à chaque fois que le gourou lubrique ne fait qu'obéir aux injonctions de son allah.

Voilà l'histoire: À Médine, Mahomet arrangea le mariage de son fils adoptif, Zayd ibn Harithah, avec Zayneb bint Jahsh. Zayneb était opposée à ce mariage car Zayd, même fils adoptif de Mahomet, n'en était pas moins ancien esclave. C'est alors que le gourou eut une de ses révélations pour obliger Zayneb à accepter :
"Il n'appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu'allah et son messager ont décidé d'une chose, d'avoir encore le choix dans leur façon d'agir. Et quiconque désobéit à allah et à son messager, s'est égaré certes, d'un égarement évident." (Coran, 33.36).

Le mariage eut finalement lieu. Quelques temps après, on rapporte que le gourou des musulmans aurait par mégarde entre-aperçu les formes généreuses de sa bru et il fut séduit par sa beauté. Il s'empressa de faire divorcer son fils adoptif et, après la période prescrite, il épousa Zayneb son ex-bru.
Ce mariage a été perçu par ses compatriotes comme incestueux mais Mahomet s'en tira par sa pirouette habituelle: dieu le lui a ordonné, à travers un autre verset tout droit venu du ciel:
"Quand tu disais à celui qu'allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l'avais comblé : 'Garde ton épouse et crains allah' et tu cachais en ton âme ce qu'allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y ait aucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'allah doit être exécuté." (33;37).
On ne peut être plus explicite, le dieu de Mahomet a poussé le soin jusqu'a citer le nom de Zayd le divorcé. C'est qu'il n'a jamais rien su refuser à son cher apôtre obsédé et lubrique.

Le tour est joué, l'illicite devint licite, le haram devint halal. Et la morale quitta définitivement le Hedjaz et la péninsule arabique pour faire place à l'immoral, au dogme du plus grand pervers sexuel de son époque.
Même les tentatives de ces groupes que les musulmans appelaient et appellent encore les "hypocrites" n'ont rien pu y faire. Leurs arguments étaient pourtant de bon sens et étaient étayés par des remarques pertinentes: ce mariage est incestueux, les versets avantagaient toujours le gourou islamique et allaient toujours dans son sens, en outre, ces versets étaient en complète contradition avec les précepts, règles sociales et coutumes, rien n'y fit. Aucune objection ne fut recevable, le gourou lubrique était en rut et rien ne pouvait plus l'arrêter. La messe fut dite ... pardon, pas la messe, la proclamation du mariage fut faite et l'inceste consommé.

Une conséquence inattendue: dès lors, l'adoption fut interdite chez les musulmans et fut remplacée par une procédure dénommée "kafala" qui restreint notamment les droits de l'enfant adopté par rapport à un enfant légitime ou même un enfant naturel. Une sorte de tutelle sans filiation qui exclut jusqu'au droit d'héritage et au nom, puisque l'enfant garde son patronyme d'origine.

La morale de l'histoire? C'est qu'il me semble que les notions qu'ont les musulmans de la morale publique sont exactement à l'inverse des conceptions qu'en ont les autres peuples de la Terre.

Surtout, s'il vous plaît, ne venez pas me sortir le justificatif massue: "Mais ce n'était QUE la femme de son fils ADOPTIF". Je ne répondrai pas à cet argument car visiblement, on n'aurait pas les mêmes conceptions de la morale.


06/08/2012
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