Apostat Kabyle AK

Pédophilie, probablement le crime le plus commun chez les imams et les mollahs.

Pédophilie, le crime le plus commun chez les imams et les mollahs.

Très librement adapté de 


Les musulmans nous disent à chaque fois: "l'islam, ce n'est pas ça"! C'est quoi, alors?

D'autres musulmans nous disent: "Et que fait-on de la pédophilie des prêtres?" Ils occultent juste un détail: en islam, cet acte est non seulement permis, mais il est encouragé. Alors que partout ailleurs dans le monde, pas uniquement chez les chrétiens et leurs prêtres, la pédophilie n'est pas seulement immorale, elle est un crime des plus horribles, pénalement condamanble. 

J'ai collecté une cinquantaine d'affaires comme celle-ci, où de bons et dévots musulmans, souvent des imams, et souvent dans les lieux où se pratiquent leurs "saintes prières", commettent ces crimes horribles. Ils se passent presque partout dans le monde musulman, mais c'est au Bangladesh, en Inde, au Pakistan, en Afghanistan et en Egypte qu'on recense le plus de cas. Et depuis peu également en Grande-Bretagne, qui peut, pour l'occasion, remercier sa communauté indo-pakistanaise. 


Mais également dans l'Irak post-Saddam, car du temps de ce tyran, ces pratiques étaient réprimées. Ce qui tendrait à prouver que le choix qui reste quand la population d'un pays est majoritairement musulmane est soit une dictature quelconque non religieuse, soit la chariya islamiya.


Aucune statistique disponible pour l'Iran. Pourtant, après la publication du livre de Khomeyni qui légalise la pédophilie avec des enfants au berceau, ces crimes doivent être devenus chose courante. 


Si de tels actes ne sont pas recensés dans les pays de la Péninsule arabique, c'est parce que, tout simplement, ces faits sont passés sous silence. Tout comme pour l'esclavage, les viols pédophiles ne relèvent pas de la justice. Sauf quand il s'ensuit la mort de la gamine, comme ce fut le cas de cette petite enfant de 5 ans, violée à mort par son propre père, qui pour ce méfait ignoble n'a été condamné qu'à ... payer une amende! Tout l'islam résumé dans ce verdict.


Tous ces pays, du Bangladesh à l'Egypte en passant par les émirats, pratiquent un islam orthodoxe des plus purs. Tous ces pays sans exception ont une Constitution qui a pour base juridique la charia. Et c'est dans ces pays qu'ils y a le plus grand nombre de crimes de cette sorte. 

Les seuls peut-être du monde musulman à être à l'abri de ce phénomène sont les pays amazigh, mis à part quelques crimes pédophiles recensés au Maroc. Est-ce dû aux restes inconscients de notre culture matriarcale d'avant l'islam?

Je parle de "crime", mais tout le monde sait que pour les musulmans, cet acte odieux n'en est pas un. C'est même tout le contraire: un acte de très haute moralité, pratiqué par le "katam ar-rassoul" - le sceau des prophètes - , "l'être le plus parfait de la création". 

Donc un acte qui procure des "hassanates". Vous ne connaissez pas les hassanates? Ce sont ces bons-points que tout musulman doit collecter, collectionner, tout au long de sa vie, et qui sont comptabilisés à sa mort pour savoir s'il mérite d'entrer au paradis d'allah. Les actions copiées sur "l'être le plus parfait de la création" sont génératrices d'énormément de hassanates, ce qui explique d'une certaine manière la multiplication de ces crimes sexuels innommables chez les plus dévots des musulmans. 

La conséquence? Elle est plutôt très inattendue, quand on ne connait pas la "culture" musulmane, quand on n'a pas baigné dedans au point de s'imprégner de toutes ses "subtilités": lorsque les victimes de viol pédophile survivent à l'agression, ce sont elles qui, très souvent, sont désignées comme criminelles. La raison que les grands juristes musulmans ont trouvé? Je vous la donne en mille: en terre d'islam, les pauvres victimes de viols, que ce soit un viol pédophile ou non, sont considérées comme criminelles pour "s'être livrées à une activité sexuelle avant le mariage"! Vous ne rêvez pas, c'est ce que rapporte le journal espagnol ABC du 14 juillet 2014, dans un article relatant la mort d'un petit garçon afghan de 5 ans, victime d'un viol collectif par une bande de jeunes musulmans ordinaires, complètement dégénérés.

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Un religieux musulman viole une fillette de 10 ans dans la mosquée.


Les faits résumés:

Le viol aurait eu lieu dans "l'enceinte sacrée" d'une mosquée, et l'accusé est un mollah, il a invoqué pour sa défense que ces rapports sexuels étaient librement consentis. 
Argument totalement islamique, issu là aussi de la tradition mahométane: on peut "naturellement" avoir des relations consenties avec une gamine, il suffit juste de lui demander ! La question de la moralité de l'acte ne se pose donc jamais pour les musulmans [*].
Mais la victime n'avait que 10 ans !
Quant au mollah, tradition islamique oblige, il a offert d'épouser sa victime. Ainsi, tout rentrerait dans l'ordre, tout serait conforme à la charia et aux enseignements coraniques, ainsi qu'à la coutume léguée par Mahomet. 
Et il y a encore plus insensé, plus abominable, plus monstrueux: les membres de la famille ont ouvertement planifié un "crime d'honneur" contre ... la petite fille, contre leur enfant! 

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Kunduz, Afghanistan, 20 juillet 2014.

L'affaire a eu des répercussions plus larges grâce à la responsable de l'association Femmes pour les Femmes Afghanes - Women for Afghan Women (WAW), le docteur Hassina Sarwari, qui a réussi à mettre la petite fille à l'abri à sa sortie d'hôpital, dans un refuge pour femmes victimes de violences. Hassina Sarwari a été obligée de se cacher pour échapper aux menaces de mort de la part d'autres mollahs et également de la part de la famille de la petite fille, tous ces braves musulmans dégénérés cherchant à minimiser le crime en soutenant que la petite fille était beaucoup plus âgée. Malgré le témoignage de la petite fille et malgré la preuve médicale. Car la violence avec laquelle a été commis cet acte criminel est telle qu'il a provoqué une rupture de la paroi entre le vagin et le rectum. 


Un chef de milice a envoyé un ultimatum au Dr Sarwari pour qu'elle rende la gamine à sa famille. Le médecin, qui a accusé la justice et les autorités religieuses de pactiser avec le violeur en ignorant le sort de l'enfant, a reçu des menaces de mort contre elle, son mari et ses enfants. Elle a déclaré vouloir maintenant fuir l'Afghanistan.


Le chef du bureau des affaires féminines de Kunduz, qui a fait activement campagne pour que la petite fille soit placée à l'abri de sa famille et pour que le mollah soit poursuivi, a démissionné et a déménagé dans une autre région du pays.


L'affaire, d'une aberrante atrocité, est devenue emblématique d'une défaillance plus large concernant l'aide aux femmes afghanes victimes de violence.


En Afghanistan, les insurgés talibans et les éléments pro-gouvernementaux oublient un instant de s'entre-tuer le temps de faire cause commune dans la haine qu'ils partagent quand on leur parle de droits des femmes. Des droits gagnés très progressivement, grâce au financement et à la pression des organisations internationales.


La plupart de la colère des débiles de Kunduz est axée non pas sur le mollah criminel mais contre les femmes activistes et contre le refuge, qui est l'un des sept refuges exploités à travers l'Afghanistan par la WAW, organisme de bienfaisance afghan fortement tributaire de l'aide américaine, du gouvernement et de bailleurs de fonds privés.


Comme le retrait occidental de l'Afghanistan s'accélère, les défenseurs des droits voient une forte baisse de leur financement. "Nous voyons déjà les signes qui annoncent la fin du soutien financier de la communauté internationale," a déclaré Mme Geyah, militante des droits des femmes, dans un entretien, avant qu'elle ne démissionne. "Nous perdons lentement toutes les avancées réalisées durant les 13 dernières années."


Mme Geyah a déclaré: "Je suis allée à l'hôpital quand ils l'ont amenée. J'étais assise à côté de son lit quand j'ai entendu sa mère et sa tante dire que son père était sous l'énorme pression des villageois pour qu'il tue la petite fille parce qu'elle était une « honte » pour eux."


Ces "crimes d'honneur" en cas de viol sont monnaie courante en Afghanistan, et tuer la victime d'un viol est souvent bien plus important pour la famille que de se venger contre l'agresseur. Les groupes de défense des droits de l'homme affirment qu'il y a environ 150 crimes d'honneur recensés par an, et probablement beaucoup plus qui ne sont pas signalés.


Même les mères ici croient qu'il n'y a pas d'autre choix que de tuer les victimes de viol, considérées comme inaptes au mariage car, autre tradition laissée par le mahométanisme, elles ne sont plus vierges, ce qui est un déshonneur qui rejaillit sur toute la famille. Et de plus, elles deviennent ainsi un fardeau à vie pour cette famille, ainsi qu'un rappel constant de leur "déshonneur". Leurs hommes se sentent obligés de laver leur "honte" dans le sang.

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Ce qui fait beaucoup de points d'honneur pour une secte dont le bouquin de référence ne contient pas une seule fois ce mot "HONNEUR", tout comme il ne contient pas une seule fois le mot "AMOUR" dans son sens le plus commun: "sentiment d'affection et d'attirance sentimentale entre 2 personnes".

 


[*] Pour avoir ce consentement, le génie du vice et de la perversion qu'est Mahomet a donné la solution: plusieurs hadiths rapportent que le silence observé par la jeune fille vierge qu'on veut marier vaut son consentement.

" J’ai demandé au Prophète: - Ô apôtre d’allah, est-ce qu’on doit demander à la femme son consentement pour son mariage? Il a dit: - Oui. J’ai dit: - Une vierge, si on le lui demande, reste timide et garde le silence. Il a dit: - Son silence marque son consentement"(récit d’Aïcha, al-Bukhari LXXXV 79).


21/07/2014
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