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Le mythe du musulman modéré

Le mythe du musulman modéré

Kabyle.net - mardi 20 mai 2014, par Aqveyli N-Jerjer   

 


Les dhimmis de l’islam, mondialistes et autres bien-pensants moralisateurs, y compris ceux qui n’ont jamais ouvert un coran de leur vie, nous le répètent sans cesse : l’islam est religion de paix, d’amour et de tolérance. Ils nous assurent qu’il existe un islam "modéré" et un islam "extrémiste", le premier serait "bon" et bien entendu, il est celui adopté par la majorité des musulmans et le second ne serait qu’une dépravation, une sorte de schisme perverti pratiqué par une infime minorité. Gare à celui qui ose dire ou écrire le contraire.

Pour se donner raison, ils ont même inventé toute une panoplie de mots pour diluer la violence intrinsèque et atavique de l’islam. Ils parlent de terrorisme, de djihadisme, d’extrémisme, de fanatisme, de salafisme, de radicalisme, de fondamentalisme, d’islamisme, etc.


A chaque nouvelle violence, à chaque meurtre, à chaque génocide, ces beaux-parleurs nous disent d’un air suffisant : "mais, l’islam ce n’est pas ça !".


Pourtant... Il suffit de regarder à travers le monde. Partout où les musulmans ("modérés") dominent, la violence est présente et les Droits humains les plus élémentaires sont absents. Et partout ailleurs, là où les musulmans ("modérés") sont minoritaires mais constituent un groupe "visible" (pour utiliser un mot à la mode), là où ils se sentent suffisamment forts, ils cherchent à imposer leur dogme. C’est le cas actuellement en Occident.


Un signe qui ne trompe pas : dans l’Histoire de l’humanité, jamais aucun groupe ethnique ou religieux n’a suscité autant de rejets de la part des populations autochtones, ni n’a créé autant de problèmes dans la société à laquelle ce groupe tente de s’imposer.


La simple lecture du coran devrait pourtant suffire à justifier tous les actes commis par les musulmans "modérés" dans le monde. Les tafsir qui interprètent dans le détail et sans ambiguïté chaque verset sont là également pour le confirmer, ainsi que les centaines de milliers de hadiths.


Et s’il fallait des preuves supplémentaires, il suffit de lire les biographies de Mahomet. Il faut rappeler aux donneurs de leçons que l’islam impose aux musulmans de suivre l’exemple de Mahomet dans le moindre de ses faits et gestes, y compris dans les actes les plus intimes de la vie quotidienne, comme la manière d’uriner, de déféquer, ou de se torcher le derrière. C’est de cette manière que le musulman acquiert son ticket d’entrée au paradis d’Allah.


On ne devrait pas avoir à fournir de preuves, ce simple constat est suffisant : la quasi-totalité des violences, des tortures, des conflits et des guerres dans le monde impliquent directement les musulmans, ils en sont les instigateurs dans la plupart des cas. Jusqu’à la violence liée à l’esclavage, aboli partout dans le monde, sauf dans certains pays musulmans et pas les moindres, puisqu’il s’agit en premier des "gardiens" de l’orthodoxie islamique.


Dans ces conditions, comment éviter de lier la violence et l’islam ? La majorité musulmane se tait, ne se lève jamais pour dénoncer les actes commis pourtant au nom des musulmans et au nom de leur dogme, alors qu’ils sont bien prompts à réagir dès qu’un journal publie la moindre caricature, ou qu’un pseudo-réalisateur produise un bout de film, plutôt un navet, d’ailleurs bien trop bienveillant envers Mahomet.


Mais comment cette oumma silencieuse pourrait-elle réagir et dénoncer ces crimes ? La très grande majorité des musulmans, pour ne pas dire tous, connait le vrai sens du djihad : le sens donné par le théologien Sayyed Abdul Ala Maududi :


"L’objectif de l’Islam est de gouverner le monde entier et de soumettre l’ensemble de l’humanité à la foi de l’islam".


On est loin des niaiseries qui veulent accréditer la thèse de "l’effort intérieur". Normal : la référence coranique est suffisamment claire et explicite à ce sujet et les quelques 120 versets du sabre, "ayat as-Sseif", sont là pour l’attester. C’est donc bien ainsi qu’on doit comprendre le djihad qui s’impose à chaque musulman : la lutte pour l’expansion de l’islam. Il n’est nulle part question d’un quelconque "effort intérieur de réflexion", mais bien de lutte et de guerre contre le reste de l’humanité. Ce point n’est ignoré d’aucun vrai musulman.


Deux versets du coran (2.193 et 8.39/40) interdisent au musulman de renoncer au djihad, ils disent à peu près la même chose :


"Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul".


Il serait utopique de penser qu’un musulman puisse y renoncer, même sa pensée le lui interdit car il remet ainsi en cause l’ensemble du dogme. Chose inimaginable. 

Un autre verset (9.39) est aussi très explicite sur le djihad, le combat contre les kuffar :

"Si vous ne vous lancez pas au combat, Allah vous châtiera d’un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple [...]".


Il s’agit donc bien là d’un devoir qui ordonne [le djihad] à chaque musulman, homme ou femme, jeune ou vieux. Plus qu’un devoir, c’est une obligation collective qui s’impose à l’ensemble de la communauté musulmane. Pas seulement à ceux que les beaux-parleurs et bien-pensants appellent intégristes ou terroristes.


Avant l’avènement de la morale relativiste et du politiquement correct, le djihad a été défini tel qu’il est par les Occidentaux. Ainsi, Encyclopædia of Islam le définit comme suit : "Propagation de l’islam par les armes, devoir religieux pour les musulmans en général". C’était avant, avant que l’Occident ne devienne terre de poltronnerie, de couardise et de lâcheté.

Cette définition correspond parfaitement aux "versets du sabre" et au sens originel du mot : chaque musulman doit lutter et participer à l’expansion islamique, sans possibilité de répit, jusqu’à l’accomplissement des deux versets "hégémonistes" 2.193 et 8.39/40, jusqu’à la suprématie totale de l’islam. Aucun musulman ne peut échapper à cette règle.

Mais alors, dans ce contexte, pourquoi les pays musulmans, unis au sein d’une organisation unique comme l’OCI, ne déclarant-ils pas un djihad planétaire contre le reste du monde ? La réponse est simple : ils n’en ont pas (encore) les moyens. Mais à bien lire la Charte de leur Organisation, on peut penser que, secrètement, ils attendent des circonstances plus favorables. Ils tablent sur les revenus pétroliers et gaziers qui leur permettent de s’offrir le patrimoine occidental à petites doses, ils tablent sur les portes qu’ont ouvert les Occidentaux, ces idiots utiles de la dhimmitude vendus à l’islam pour quelques barils de pétrole. Ils tablent sur l’immigration musulmane, plus proche de l’invasion de peuplement, tandis que les frontières musulmanes sont quasiment hermétiques à tout ce qui n’est pas islamique. Ils tablent sur la démographie et la fécondité de leurs femmes. Et ils tablent également sur le temps qui semble travailler pour eux.


Les musulmans "modérés" ne peuvent pas dénoncer ce qu’on appelle islamisme. Tout comme ils ne peuvent pas dénoncer les crimes commis en leur nom à tous et au nom de l’islam. Ils ne pourraient pas le faire. Ne vont-ils pas dans les mêmes mosquées que celle où allaient ben Laden et ses partisans, les mêmes mosquées où se retrouvent les membres de Boko haram ("Occident illicite", tout le programme de l’islam résumé en deux mots !) ? N’écoutent-ils pas les mêmes sermons que ceux qui ont fait germer dans la tête de Mohammed Atta et de ses acolytes les attentats du 11 septembre 2001 ? N’écoutent-ils pas les mêmes imams prêcher les mêmes sermons, inlassablement ressassés dans toutes les mosquées du monde ? Ne lisent-ils pas les mêmes livres ?


Mais aussi, ne connaissent-ils pas ceux qu’on appelle extrémistes, ou intégristes, etc., pour être leurs parents, leurs enfants, leurs frères, leurs amis, leurs voisins ? La voilà, la vraie raison de leur silence. Silence qui ne peut être qu’une manière de dire qu’ils légitiment les crimes commis au nom de l’islam en leur nom à tous et qu’ils les approuvent. Les voilà, ceux qu’on dénomme "musulmans modérés".


Modérés à tel point que, même entre eux, ils ne se reconnaissent pas le droit à la moindre divergence de vue. Posez la question à n’importe lequel d’entre eux : « Reconnaissez-vous tout simplement l’existence de plusieurs islams, un qui serait "modéré" et un autre "extrémiste" ? » Vous aurez invariablement la même réponse : bien évidement, c’est non ! Pour les musulmans quels qu’ils soient, ils n’y a qu’un seul islam, le reste n’est que littérature et invention d’Occidental en mal de repentance post-colonisatrice.


Un islam et rien d’autre, à tel point qu’un sunnite ne considère pas le chiite comme musulman, et inversement.

 

Ibn Ishaq, 204 :"Oui. En jurant allégeance à lui [Mahomet], nous nous engageons à faire la guerre contre toute l’humanité".

Ibn Ishaq, 300 : 
"Je me bats au service d’Allah, ceci est de la piété et une bonne action dans la guerre pour Allah". 

Ibn Ishaq, 395 :"Ô musulmans, si vous prêtez l’oreille aux incroyants, vous tournerez le dos à l’ennemi et vous vous retrouverez perdants. Demandez la victoire à Allah, ne battez pas en retraite et ne vous détournez pas de sa religion. Nous allons terroriser ceux qui ne croient pas". 

Ibn Ishaq, 587 :"Notre attaque ne sera pas une affaire chancelante et faible. Nous nous battrons aussi longtemps que nous vivrons. Nous nous battrons jusqu’à ce que vous admettez l’Islam et l’acceptez humblement comme refuge. Nous nous battrons sans nous soucier qui nous devons rencontrer [...]. Nous nous battrons jusqu’à ce que notre religion soit établie". 

Bukhari, vol.4 p 44 :"Un homme vint trouver le messager d’Allah et lui dit : instruis-moi d’une bonne action équivalente au djihad en terme de récompense. Mahomet lui répliqua : je n’en trouve aucune à te proposer". 

Bukhari, vol.4 p 46 :"J’ai entendu le messager d'Allah dire : l’exemple que donne un combattant dans la voie d’Allah, est équivalent à celui d’une personne qui jeûne et se prosterne sans jamais s’arrêter [sans manger, sans dormir, sans satisfaire ses besoins naturels, etc.]. Allah a promis qu’il admettra au paradis celui qui pratique le djihad dans sa cause, s’il meurt au combat, mais s’il demeure en vie, il le renverra chez lui chargé de récompenses et de butin". 
Bukhari, vol.4 p 73 :"Le messager d’Allah a dit : sachez que le paradis est à l’ombre des épées". 
Bukhari, vol.4 p 196 :"Le messager d’Allah a dit : J’ai reçu l’ordre de combattre les peuples jusqu’à ce qu’ils déclarent qu’il n’y a de dieu qu’Allah et que je suis son prophète".



Lire aussi mon article " Le djihad, c’est la conquête de territoires non musulmans"



23/05/2014
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