Apostat Kabyle AK

I    Les grandes organisations islamique des USA

La Nation of Islam déjà célèbre dans les années 1970 est moribonde. L'islam afro-américain en mode durant cette décennie est aujourd'hui dépassé et remplacé par l'islam djihadiste, cet islam de conquête que les dirigeants occidentaux s'entêtent à voir comme une richesse, une chance pour le renouveau occidental. Il comprendront plus tard "leur douleur" quand ils finiront par ouvrir les yeux.
Aujourd'hui, l'islam américain a des airs d'Arabie saoudite, il est influencé par les ulémas de la Péninsule arabique et par les radicaux Frèes musulmans d'Egypte. Leurs nombreux liens avérés avec les organisations classées terroristes ne semblent pas les gêner: le fonctionnement mafieux et les nombreux procès qui leur ont été intentés ne semblent pas affecter leur "respectabilité".  Les 4 principales organisations américaines sont:
- l' Islamic Society of North America (ISNA)
- le Council on American-Islamic Relations (CAIR)
- l'American-Arab Anti-Discrimination Committee
- La Muslim American Society.

La mosquée de Dearborn, Michigan. Le plus important centre musulman des USA.

II    L'ISNA réinvente la charia pour usage occidental

"Au lieu d'utiliser les États-Unis comme un modèle pour la réforme de l'islam, les musulmans voient l'islam comme un modèle de réforme pour les États-Unis".


Le dernier numéro de Islamic Horizons, le magazine de l'ISNA, présente un article révélateur du plan de conquête des USA: l'article dit que les États-Unis pourraient s'inspirer de la loi islamique si ce n'était pas pour le "islamophobes" dénigrement charia.

 Il est évident que pour les musulmans, les  islamophobes sont les ennemis déclarés ! D'où la lutte acharnée contre ces empêcheurs d'islamiser en rond ! Dans un jeu de sémantique qui rappelle la campagne visant à amener les médias à ne plus utiliser le mot "islamiste" et la campagne pour "blanchir" le djihad", l'Islamic Society of North America  se tourne maintenant vers les mots "charia" et le "fiqh", la juridiction islamique.  Le fiqh est présenté comme un système de jurisprudence supérieure à celui de l'Ouest. C'est la doctrine des inspirateurs et pères spirituels de l'ISNA, les Frères musulmans pour qui l'islam n'est pas seulement une foi, mais une alternative civilisationnelle. Il est donc logique que ce principe soit mis en avant par l'ISNA. Comme l'avait déclaré Hassan al-Banna, grand-père de Tariq Ramadan et fondateur des Frères musulmans:
"C'est la nature de l'Islam de dominer, de ne pas être dominé, d'imposer sa loi à toutes les nations et d'étendre son pouvoir à l'ensemble de la planète."

Le magazine de l'ISNA fait d'abord valoir que le fiqh n'est pas un "système de gouvernance" théocratique parce que "contrairement à nos cousins ​​chrétiens, les musulmans n'ont jamais fusionné les rôles de l'église et de l'Etat."
Dans l'article de l'ISNA, l'enveloppe de la loi islamique est présenté comme un bienfait pour l'Amérique. Voici deux citations de l'article:

- "Plutôt que d'être une menace pour la conception américaine du droit, la théorie juridique islamique pourrait fournir de précieux renseignements sur la façon d'honorer la multiplicité sans abandonner les valeurs et identités individuelles, ou l'unité de l'ensemble."

- "Quand il s'agit de composer avec la diversité, l'Amérique pourrait apprendre beaucoup de la loi islamique, si seulement elle pouvait arrêter de dépeindre [l'islam]comme quelque chose de néfaste."

Ce message n'est pas nouveau pour l'ISNA. Le Secrétaire général de l'ISNA durant les années 1994 à 2006, Sayyid Syeed, a été enregistré en 2006 disant: "Notre travail consiste à modifier la Constitution de l'Amérique." Ce qui n'est pas le langage de quelqu'un qui parle uniquement de spiritualité et de morale.

Muzammil Siddiqi est l'un des fondateurs de l'ISNA et a été son président de 1997 à 2000. Il reste membre honoraire du conseil d'administration. En 1996, il a déclaré que les musulmans "devraient participer au système [démocratique] pour sauvegarder nos intérêts et essayer d'apporter un changement progressif pour la bonne cause ... Nous ne devons pas oublier que les règles  d'Allah doivent être mises en place dans tous les pays, et tous nos efforts devraient aboutir à cette direction.
[...] Il n'est même pas nécessaire pour les musulmans de pratiquer le droit pénal dans un État non-islamique ... Une fois de plus les gens acceptent l'Islam, incha Allah, ce qui conduira à la mise en œuvre de la charia dans tous les domaines. "


III    L'ISNA travaille à l'élimination de l'Occident


L'ISNA travaille à l'élimination et la destruction de la civilisation occidentale de l'intérieur. L'Amérique est une sorte de grand djihad dans ce processus.
L'ISNA a été nommé co-conspirateur non accusé et proche des Frères musulmans dans le plus grand procès pour financement du terrorisme dans l'histoire des USA, le procès Holy Land Foundation.
Un extrait de ce document daté du 22 mai 1991:

Isna Headquarters/masjid, Plainfield, Indiana 46168, USA

"Le processus de règlement est un "processus de civilisation-djihadiste" et tous les moyens que donnent ces mots. Les "ikhwan"  [mot arabe pour les frères] doivent comprendre que leur travail en Amérique est une sorte de grand djihad pour éliminer et détruire la civilisation occidentale de l'intérieur, et le sabotage de sa maison misérable par les mains des croyants, de sorte qu'elle soit éliminée , et que la religion de Dieu sorte victorieuse sur toutes les autres religions. Sans ce niveau de compréhension, nous ne sommes pas prêts pour relever le défi et nous ne sommes pas encore préparés pour le djihad. C'est la destinée du musulman que de mener le jihad partout où il est et où il atterrit jusqu'à sa dernière heure et il est impossible d'échapper à ce destin, sauf pour ceux qui choisissent de se relâcher. Mais devant Allah, ne sont pas égaux les fainéants et les moudjahidines."

Les musulmans considèrent à juste titre que le temps joue en leur faveur, leur intérêt est donc de s'engager pour le contrôle et la limitation des armes à feu. L'ISNA s'est ainsi logiquement engagée avec le Centre Brady dans la lutte pour l'abolition du deuxième amendement.



IV    Canada: la Fondation ISNA pourrait avoir transféré des fonds à des terroristes

Un fait très curieux: malgré tous les soupçons, toutes les plaintes, tous les procès en cours ou terminés, les principales associations musulmanes d'Amérique du Nord s'en sortent à chaque fois sans dommages. Des membres de ces organisations sont déclarés coupables, comme
- Omar Ahmad, co-fondateur du Conseil sur les relations américano-islamiques CAIR-SFBA et membre du Comité Exécutif,
- Randall "Ismail" Royer, ancien coordonateur du CAIR pour les Droits Civils et spécialiste en Communications ,
- ou encore Ghassan Elashi, fondateur de CAIR - Texas et président de la Holy Land Foundation for Relief and Development.

Ce dernier est condamné à 65 ans de prison pour terrorisme alors qu'il était président du CAIR, mais comme à chaque fois l'organisation n'est jamais inquiétée ni soupçonnée !


Nota: le CAIR, comme l'ISNA, est aussi présent au Canada. Pour se démarquer  et ne pas traîner les vieilles casseroles du CAIR, il a dernièrement décidé de changer son nom en National Coucil of Canadians Muslims.



V    Le CAIR, "stigmatisé", porte plainte contre la National Security Agence

Les Frères musulmans des Etats-Unis, conscients de la "stigmatisation" associée à leur nom, ont adopté un nouveau modus operandi: travailler avec des partenaires interconfessionnelles. Le CAIR utilise cette tactique dans son procès contre la National Security Agency (NSA), laissant la First Unitarian Church de Los Angeles prendre les devants, dans une coalition d'environ 20 groupes religieux. Ils poursuivent l'agence d'Etat NSA pour ses enregistrements téléphoniques qui, pourtant ont été fait dans le cadre de la lutte antiterroriste et d'entente avec des agents de renseignement étrangers. La coalition  soutient  que la NSA "porte atteinte au droit de se réunir pacifiquement." Pourtant, l'expression "rassemblement paisible" n'inclut pas l'association avex des terroristes ou la communication avec des espions.

Pour justifier son action en justice, la First Unitarian Church a utilisé sa propre version de "l'islamophobie" en attisant les craintes des citoyens et en jouant le rôle de victime persécutée. La First Unitarian Church n'a aucun scrupule à faire équipe avec CAIR, association identifiée  par les procureurs fédéraux comme une entité du Comité Palestine des Frères musulmans américains, comité mis en place pour promouvoir l'agenda du Hamas.
Quant à Zahra Billoo, directrice de CAIR-Californie, elle poursuit la NSA dans le cadre d'une défense plus large contre les persécutions anti-musulmanes par le gouvernement fédéral.
Ben voyons ! On doit les laisser faire leurs petits arrangements djihdo-mafieux, sinon ils accusent le monde de complot contre l'islam!

Zahra Billoo se décrit comme "litigieuse, féministe, hippie, anarchiste" (on croit rêver!!!) "Ce que le FBI est venu faire [dans ses enquêtes] a été de leur permettre de devenir des terroristes réels. C'est aussi de créer ces énormes complots terroristes là où ils n'existent pas."
La militante anti-islam Ayaan Hirsi Ali la surnomme ironiquement "The Perfect Tante-Tom".

Nota: cette alliance contre-nature de chrétiens et de musulmans comprend aussi l'ISNA, l'US Muslim Brotherhood (Frères musulmans  US), l'Islamic Circle of North America (ICNA), la Muslim American Society (MAS).


VI    "80 % des mosquées américaines sont contrôlées par des extrémistes"


Le CAIR n'aime pas qu'on le dévoile, même quand ce sont d'autres musulmans qui le disent.
C'est extrait d'un blog musulman, l'info ne date pas d'hier mais depuis, pas grand chose de changé, sauf en pire.

Des musulmans américains se plaignent de la domination des radicaux wahhabites sur 80 % des mosquées. Pourtant, chacun d'entre eux sait que cette radicalisation est une réalité, mais la plupart sont trop intimidés par CAIR et sa cohorte pour faire quelque chose. Ils subissent insultes et menaces.
Le CAIR est tristement célèbre comme un lobby américain de l'islam sunnite radical. Il est lié avec le Hamas, le mouvement terroriste palestinien. Mais il a été particulièrement adroit, depuis les attentats du 11 Septembre 2001, de s'être présenté comme une organisation de défenses des libertés civiles et particulièrement contre les violations présumées des droits des musulmans américains.

La situation du CAIR et de ses partenaires dans le "lobby wahhabite" a été décrite par le natif de Bahreïn Omran Salman dans The Philadelphia Inquirer  du 31 Août de 2006:

"Le 10 Août, la police britannique a arrêté 24 suspects musulmans dans un complot visant à faire exploser 10 avions de ligne à destination des USA au-dessus de l'Atlantique. En cas de succès, l'attaque aurait tué des milliers de personnes. Les terroristes ont été motivés par l'extrémisme religieux. Plutôt que de les condamner et de lutter contre le fléau de l'extrémisme islamique, les groupes musulmans tels que le Council on American Islamic Relations (CAIR), le Muslim Public Affairs Council (MPAC) et la Muslim American Society (MAS) ont cherché à la fois à légitimer la terreur et à dépeindre les musulmans comme des victimes [...]. C'est leur apologie de l'extrémisme islamique, plutôt que de la discrimination ou à la haine religieuse dans la société occidentale, qui victimise bien plus les musulmans américains".



VII    Le directeur exécutif du CAIR, Nihad Awad : l'islam et les États-Unis sont jumeaux.

Voici la transcription de quelques extraits de son interview sur Iqra TV le 27 Décembre 2012.
Gonflé, le mec! Plus versé dans la Taquiya que Malek Chebel, l'imam Chalghoumi et Tariq Ramadan réunis.

Nota: Awad est co-fondateur et directeur exécutif du CAIR, ex-directeur des relations publiques de l'Association islamique pour la Palestine (IAP). Il est d'origine jordanienne. Il soutient publiquement les terroristes du Hamas.

Interviewer : Encore une fois, je vous salue des Etats-Unis, et spécialement, à partir de New York. Le sujet d'aujourd'hui porte sur les organisations islamiques américaines.

Nihad Awad : À mon avis, l'islam et les Etats-Unis sont des jumeaux, liés par des valeurs communes. Les valeurs sur lesquelles les Etats-Unis a été fondés sont les mêmes valeurs prônées par l'Islam: la liberté, et en particulier la liberté de religion, la liberté d'expression, la protection des minorités, et la diffusion de la justice entre tous les secteurs de la société.
[...]
La combinaison de ma nationalité américaine et la pratique de ma religion islamique crée un beau mélange, je crois. Il s'agit d'un mélange civilisé, ce qui prouve que l'islam s'épanouit dans une atmosphère de liberté, et qu'il propage la liberté, la justice et l'égalité. Chaque jour, je vis comme un citoyen américain musulman, je redécouvre les liens solides entre le système humain que les États-Unis ont créé pour le peuple et les valeurs prônées par l'Islam. Ce mariage de l'islam et des Etats-Unis serait le mieux adapté pour l'humanité, car les valeurs islamiques sont des valeurs divines, véhiculées par Allah. Le Prophète Muhammad a vécu par ces valeurs, et les musulmans d'aujourd'hui doit s'élever à son niveau. Les États-Unis ne sont pas parfaits, mais ils se dirigent vers une union plus parfaite.
[...]
Il est extrêmement important de savoir comment l'Islam a commencé aux États-Unis. Il ya des récits historiques selon lesquelles les musulmans ont précédé Colomb, qui dit avoir découvert aux États-Unis. Certains documents indiquent que les marins musulmans ont été les premiers à atteindre les États-Unis. La ligne de fond est que l'islam a joué un rôle dans la création et le développement des États-Unis.
[...]
La vision du monde musulman est faite de coexistence, de respect du pluralisme et de la paix. Allah dit dans le Coran: «Oh humanité! Nous t'avons créés d'un mâle et d'une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous sachiez. Le plus noble d'entre vous, aux yeux d'Allah, est le plus pieux d'entre vous. "C'est un principe humain, social et politique très important. C'est le principe de l'interaction avec l'autre, que ce soit nations, individus, institutions ou pays. Ce verset a été transmis il ya 1400 ans. C'est un principe très important sur la façon dont nous devons interagir avec les autres. En tant que musulmans, nous ne sommes pas hostiles à d'autres sociétés. Le principe sous-jacent guide nos relations avec eux dans le respect pour les différences naturelles entre individus,nations et sociétés, mais il ya aussi des intérêts communs. La diversité dans l'Islam est une bonne chose, pas un défaut. La plupart des guerres menées entre les nations étaient le résultat de l'échec à faire respecter et faire reconnaître l'autre.
[...]
Quand j'ai dit que l'islam et les Etats-Unis sont des jumeaux, je parlais des valeurs sur lesquelles les Etats-Unis ont été fondés. Je parlais affaires intérieures. La société américaine se compose de toute l'humanité - toutes les ethnies, une société d'immigrants. Les États-Unis est l'union d'hommes la plus diversifié. Comment les Etats-Unis ont réussi à créer ce tissu humain? Cette expérience humaine était, sans aucun doute, sur la base des principes très importants, qui sont identiques aux valeurs islamiques. Le problème réside dans la politique étrangère. Je suis l'un des opposants les plus intransigeants de la politique de mon pays ... La politique étrangère est une tout autre affaire.
[...]
Après le 11/9/2001, nous avons vu un grand intérêt parmi le public américain à avoir une meilleure connaissance de l'islam par l'étude et la lecture. Nous avons constaté que très peu de livres sur l'islam étaient disponibles dans les bibliothèques publiques, qui sont fréquentées par de nombreux Américains, et que la plupart de ces livres étaient trompeurs ou anti-islamiques. Par conséquent, nous avons décidé de publier plusieurs livres sur l'Islam, écrits par des musulmans et des non-musulmans. Nous avons décidé de les envoyer gratuitement dans les bibliothèques publiques américaines.
[...]
Il ya 16.200 bibliothèques publiques aux États-Unis, desservant 300 millions d'Américains. Nous avons réussi à fournir cette collection, libre de charge, pour la moitié de ces bibliothèques.
[...]



VIII   USA, islam et organisations terroristes - Organigramme

Corey Saylor, Directeur des Affaires gouvernementales du CAIR, nous donne l'explication:

"Certains essaient de nous tenir responsables des actes de personnes qui sont associées à notre organisation. C'est absolument ridicule ... 

Ce n'ai pas l'Organisation qui fait du terrorisme, ce sont juste ses membres. 

IX    En guise de conclusion, quelques paroles de ces très respectables personnages: