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Fêtes de Pâques: rappel à l'usage des musulmans, sur leurs relations avec les non-musulmans

Préambule

La Jurisprudence (Fiqh) des relations entre les musulmans et les non-musulmans  recommande aux premiers d'être "miséricordieux, tolérants, modérés" envers les kuffar. 
A l'exemple de ces vertus bien musulmanes, il est recommandé de ne pas prendre d'amis parmi ces kuffar ennemis d'Allah, mais de les traiter de manière juste, malgré l'aversion ressentie envers eux. Cette manière juste se résume brièvement ainsi:
- ne pas avoir avec eux de relations "mawaddat" (relations d'affection, d'amour et de gentillesse),
- se contenter d'une attitude de "mudarat" (expression d'amitié seulement en apparence),
- de n'échanger des cadeaux avec eux que dans certains cas (uniquement si ce n'est pas dans l'intention de nuire à l'islam),
- de ne pas assister à leurs fêtes religieuses,
- de ne pas leur offrir les condoléances, sauf pour leur souhaiter qu'Allah leur remplace le défunt par quelqu'un de meilleur, c'est-à-dire par un musulman,
- de ne pas se lever pour leur témoigner du respect, sauf pour raison diplomatique (espoir d'une conversion),
- etc. 
 
Tout faire pour ne pas imiter les kuffar, car qui essaie de leur ressembler est lui aussi un kouffar. Interdiction de célébrer leurs fêtes et de leur offrir des cadeaux. Il faut éviter les ennemis d'Allah durant leurs fêtes. 
Confirmation de la fatwa précédente: qui s'associe ou essaie de ressembler aux kuffars polythéistes, juifs ou chrétiens, est comme eux. Il n'est permis au musulman ni de participer à leurs fêtes, ni de coopérer, ni d'aider en quoi que ce soit ces kuffar. Pas même en leur proposant un café ou un thé. Ces kuffar ont en tête de mettre l'islam sur le même pieds d'égalité que leurs fausses religions, abrogées par l'islam et non agréées par Allah, alors que tout le monde sait que l'islam et les musulmans sont supérieurs à tout le reste.
Le fait pour un musulman de participer aux festivités des kuffars engendre une forme d'amitié, d'amour et d'alliance qu'Allah a formellement interdit. 
 
Cela revient à exprimer aux kuffar une forme d’alliance ou d’affection, ce que condamnent formellement le coran et la sunna.
Allah a interdit d’aimer ses ennemis, y compris parmi les proches des musulmans:
"Ô vous qui croyez! Ne prenez pas pour alliés, vos pères et vos frères s'ils préfèrent la mécréance à la foi[...] ( coran 9:23) . 
A fortiori si cet ennemi ne fait pas partie de sa famille. Le musulman est donc tenu de le détester.
En outre, il est naturel que les kuffar félicitent le musulman pour ses fêtes car celles-ci sont légitimes. A l'inverse, le musulman doit se l'interdire, même par simple politesse, pour ne pas conforter les kuffar dans leurs erreurs. 
 
Féliciter les kuffar dans le cadre de leur mariage ou d'une naissance ou simplement leur souhaiter prospérité et bonne santé est blâmable. Par ailleurs, il est plus grave auprès d'Allah de tuer une personne que de souhaiter une bonne fête aux kuffar. Il s’agit d'une concession qui constitue un appui moral aux kuffar, appui susceptible de les rendre fiers de leur religion.
Les fêtes kuffar [même celles historiquement antérieures à l'islam] constituent des innovations dans la religion. A supposer qu’elles renferment un fondement légal, elles ont été abrogées par l’islam. Il est donc important pour le musulman de ne rien faire qui implique la reconnaissance des pratiques des kuffar. 
 
Confirmation de la fatwa précédente: ne pas féliciter les kuffar chrétiens à l'occasion de leur fêtes, car c'est être gentil avec eux et les prendre en affection, être satisfait d'eux et de leurs rites, ce qui est interdit. Il faut, au contraire, avoir de l'aversion pour eux: ils s'opposent à Allah et prétendent que dieu a un fils. 

6° Interdiction de célébrer les fêtes des infidèles
Participer aux fêtes des kuffar, exprimer sa joie à cette occasion ou cesser ses activités lors de ces fêtes revient à s’assimiler aux ennemis d’Allah et à coopérer avec eux pour soutenir le faux [car seul l'islam est véridique]. 
 
Fatwa de confirmation: il est interdit au musulman de féliciter les kuffar à l’occasion de leurs fêtes, collègues de travail ou non et de répondre à leur invitation, de les imiter en célébrant leurs fêtes ou en échangeant des cadeaux. 
 

Conclusion

Le plus grave danger que court le musulman installé chez les kuffar est l'assimilation. Toutes les communautés finissent par s'assimiler à celle du pays d'accueil, il est donc vital pour le musulman de ne pas suivre cette voie et de rester dans la Oumma Islamiyya, seule garante de l'entrée dans le paradis d'Allah. Le musulman doit donc en toutes circonstances se démarquer de manière visible du kuffar, sauf si ce dernier s'est convertit à l'islam, auquel cas c'est à lui de se conformer à la religion de vérité ("seul l'islam est véridique, car c'est écrit dans le coran"). 

Pour parer à ce danger, le musulman doit surtout être vigilant concernant l'éducation de ses enfants : elle doit se faire dans la stricte observation des règles religieuses pour empêcher les enfants de se perdre en s’assimilant à la société occidentale dissolue, éviter les mauvaises influences des kuffar y compris leurs films, ne pas faire intervenir la police pour régler les différents familiaux en appelant le 911, etc. 
Le musulman doit s'interdire d'écouter de la musique car elle affecte les émotions, crée l'excitation et éveille le désir humain et la concupiscence.
Même la mort ne doit pas rapprocher le musulman des kuffar. Ainsi, il n'est pas permis d'enterrer les musulmans dans les cimetières kuffar, ni d'ailleurs les kuffar d'être enterrés dans les cimetières musulmans.
Le musulman doit être vigilant aussi dans la manière qu'il a de se comporter et doit respecter l'interdiction de s'allier aux kuffar. En particulier, il ne doit pas avoir de l'affection à leur égard, s'allier à eux d'une manière quelconque, leur faire confiance, en faire des conseillers, choisir son entourage parmi eux, leur rendre hommage, adopter leur calendrier, solliciter le pardon d'Allah en leur faveur, et surtout, ne pas adopter leurs noms répugnants
"Et n'initiez pas les juifs et les chrétiens à donner les salutations de paix et si vous les rencontrez sur la route, forcez-les sur le côté". 

 



02/04/2015
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