Préambule
Sachez avant tout qu’une musulmane ne peut en aucun cas épouser un non-musulman. Alors que le musulman peut se marier avec les femmes juives ou chrétiennes. Pas avec les femmes des autres religions, ou avec les femmes sans religion : le Coran ne prévoit pour elles qu’une seule alternative : la conversion à l’islam ou la mort.
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Il vous demande en mariage, et vous êtes tombée amoureuse de lui et de son beau visage au teint de bronze moyen-oriental. Il est intelligent, riche, instruit et bien élevé. Alors, quand on est une femme, que demander de plus ? ...
Quand le plus éligible, le plus "bachelor" des célibataires, est aussi un musulman !
"Il n’y aura pas de problèmes", vous dira-t-il, "vous pourrez garder votre religion, je garderai la mienne". Et s’il est vrai que l’islam permet à un musulman d’épouser une femme chrétienne, est-il vrai qu’il n’y aura aucun problème pour la femme dans un tel mariage ?
Pour répondre à cette question, la femme doit examiner ce qu’implique d’être l’épouse d’un musulman.
Votre statut
Le coran enseigne que les hommes sont supérieurs aux femmes :
"[...] Mais les hommes ont cependant une prédominance sur elles. Et Allah est Puissant et Sage" (coran 2:228).
Parce que, Mesdames, Allah vous a accordé moins d’intelligence qu’aux hommes et moins de discernement, mais aussi que vous êtes plus dépensières :
"Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah"(coran 4:34).
Le coran enseigne que les femmes héritent de la moitié par rapport aux hommes :
"Voici ce qu’Allah vous enjoint au sujet de vos enfants : au fils, une part équivalente à celle de deux filles. S’il n’y a que des filles, même plus de deux, à elles alors deux tiers de ce que le défunt laisse. Et s’il n’y en a qu’une, à elle alors la moitié" (coran 4:11).
Mesdames, si vous n’avez pas compris la première injonction, Allah dans sa bonté vous la répète :
"[...] Mais s’il a deux sœurs (ou plus), à elles alors les deux tiers de ce qu’il laisse ; et s’il a des frères et des sœurs, à un frère alors revient une portion égale à celle de deux sœurs [...]" (coran 4:176).
Le coran enseigne que le témoignage d’une femme vaut moitié moins que celui d’un homme :
"[...] Faites-en témoigner par deux témoins d’entre vos hommes ; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d’entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre puisse lui rappeler [...]" (coran 2:282).
Le coran considère la femme comme la propriété de l’homme, tout comme les enfants, le bétail et les objets :
"On a enjolivé aux gens l’amour des choses qu’ils désirent : femmes, enfants, trésors thésaurisés d’or et d’argent, chevaux marqués, bétail et champs ; tout cela est l’objet de jouissance pour la vie présente, alors que c’est près d’Allah qu’il y a bon retour"(coran 3:14).
Le coran commande aux femmes de se voiler dès qu’elles sortent de leur maison, d’être modestes et de baisser les yeux en signe de soumission :
"Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu’elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes. Et qu’elles ne frappent pas avec leurs pieds de façon que l’on sache ce qu’elles cachent de leurs parures. Et repentez-vous tous devant Allah, Ô croyants, afin que vous récoltiez le succès" (coran 24:31).
Mahomet enseigne que les femmes manquent d’esprit et sont faibles en religion
"Je n’ai pas vu plus déficient en intelligence et en religion que les femmes" (hadith sahih al-Bukhari vol. 2:541).
Et qu’elles sont un mauvais présage :
"S’il y a un signe maléfique quelque part, c’est dans la femme, le cheval et la maison" (al Bukhari vol. 07:30).
Mahomet enseigne que les femmes sont des incapables :
"Nombreux sont les hommes à avoir atteint la perfection mais aucune femme n’a atteint ce degré à part Assia, femme de Pharaon, et Marie, fille d’Imran" (al-Bukhari LV 623).
Dans un hadith, Mahomet dit que la majorité des femmes ira en enfer. Dans celui qui suit, il enseigne que les femmes sont intellectuellement défaillantes et attardées :
"Je n’ai pas vu une plus déficient en intelligence et en religion que vous" (al-Bukhari, vol. 2:541).
Mahomet enseigne que les femmes sont nocives pour les hommes :
"Après moi, je n’ai laissé pire affliction plus nuisible aux hommes que les femmes" (al Bukhari vol.7 : 33).
Votre Mariage
Le coran permet la polygamie :
"Et si vous craignez de n’être pas justes envers les orphelins... Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille)" (coran 4:03).
Le coran, qui consacre toute une sourate à la répudiation (at-Talaq, sourate 65), permet à l’homme de répudier sa ou ses femmes par un simple mot prononcé devant témoins : "talaq". La femme peut demander le divorce, mais la procédure est tellement compliquée que même si elle l’obtenait, c’est toujours à ses dépens, notamment pour la garde des enfants. (À ce sujet, lire mon article Répudiation et divorce en islam)
Le coran enseigne que la femme peut être l’objet de sanctions de la part de son mari. Le mari peut la battre et, en punition, peut s’abstenir d’avoir des relations sexuelles.
"[...] Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !" (coran 4:34).
Un proverbe arabo-musulman, probablement inspiré à son auteur par ce verset, dit ceci :
"Quand tu rentres chez toi, bats ta femme. Si toi tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait"
Votre vie sexuelle
Le coran considère la femme comme un objet sexuel :
"Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance. [...] (coran 2:223).
Mahomet enseigne que la femme doit être punie sans que l’homme éprouve de remords
"Aucun d’entre vous ne devra fouetter sa femme comme il fouette un esclave et ensuite avoir des rapports sexuels avec elle dans le reste de la journée." (al-Bukhari LXII 132).
Vos enfants
Vos enfants doivent être élevés pour devenir de bons musulmans. Si votre mari vous répudie, ne vous fiez pas à la jurisprudence musulmane qui dit que la femme est prioritaire pour la garde des enfants : cette jurisprudence ne concerne que les couples musulmans et en aucun cas les couples mixtes. En tant que non-musulmane, vos droits et devoirs envers vos enfants vous seront complètement retirés. Vous ne seriez même pas en mesure de les voir ne serait-ce qu’une fois par an.
La charia a établit que, dans les mariages mixtes,
"les enfants suivront la meilleure des deux religions de leurs parents".
Et évidemment, la meilleure parmi toutes les religions, c’est l’islam :
"Certes, la religion acceptée d’Allah, c’est l’islam. [...]. Et quiconque ne croit pas aux signes d’Allah... alors Allah est prompt à demander compte !" (coran 3:19).
Votre avenir
Si vous survivez à votre mari et que sa fortune est dans un pays islamique, la loi islamique s’appliquera. La femme non-musulmane ou non convertie à l’islam ne reçoit rien. La musulmane elle-même est presque rien, en toute logique elle ne reçoit presque rien. Selon le coran une épouse musulmane n’hérite pas de toute la richesse de son mari. Si le mari meurt sans laisser d’héritiers, elle n’obtient qu’un quart de sa fortune
"Et à elles un quart de ce que vous laissez, si vous n’avez pas d’enfant. Mais si vous avez un enfant, à elles alors le huitième de ce que vous laissez après exécution du testament que vous auriez fait ou paiement d’une dette" (coran 4:12).
Avant de dire "je saute le pas"
Avant de vous engager à épouser un musulman, vous seriez bien inspirée d’examiner le pour et le contre. Alors que vous, vous ne serez peut-être motivée que par l’amour, lui pourrait avoir d’autres considérations et d’autres motifs, comme par exemple simplement l’obtention d’une "carte de résidence".
Je sais, on dit que "l’amour est aveugle". J’espère cependant que cet avertissement vous servira et sera révélateur pour vous.
Vous pouvez avancer comme argument que votre futur mari est un musulman non pratiquant.
Mais, premièrement, est-il vraiment non-pratiquant et pouvez-vous en avoir des certitudes ?
Deuxièmement, s’il est vraiment non-pratiquant, à moins qu’il soit bien inspiré et renonce à l’islam, il deviendra tôt ou tard pratiquant. C’est une constante de l’islam.
Troisièmement, s’il vous aime vraiment, demandez-lui qu’il se convertisse à votre religion, si toutefois vous en avez une. Et si vous n’en avez pas, faites quand même le test, en vous inventant une affiliation religieuse et demandez-lui s’il accepte de s’y convertir. Sa réponse pourrait vous éclairer sur ses véritables intentions.
Quatrièmement, n’oubliez pas que l’islam est plus qu’une religion : c’est aussi un code juridique et social complet que les musulmans comme les non-musulmans se doivent de suivre, dans un État islamique ou non.
Mais, premièrement, est-il vraiment non-pratiquant et pouvez-vous en avoir des certitudes ?
Deuxièmement, s’il est vraiment non-pratiquant, à moins qu’il soit bien inspiré et renonce à l’islam, il deviendra tôt ou tard pratiquant. C’est une constante de l’islam.
Troisièmement, s’il vous aime vraiment, demandez-lui qu’il se convertisse à votre religion, si toutefois vous en avez une. Et si vous n’en avez pas, faites quand même le test, en vous inventant une affiliation religieuse et demandez-lui s’il accepte de s’y convertir. Sa réponse pourrait vous éclairer sur ses véritables intentions.
Quatrièmement, n’oubliez pas que l’islam est plus qu’une religion : c’est aussi un code juridique et social complet que les musulmans comme les non-musulmans se doivent de suivre, dans un État islamique ou non.
Sachez enfin qu’en cas de litige entre vous et lui, ce qu’il fera en priorité sera de partir, de fuir, vers son pays d’origine ou pays d’origine de ses parents, là où il aura la justice de son côté et où il bénéficiera de l’impunité totale.
Vous le regretterez d’autant plus si vous avez des enfants et s’il réussit à les emmener avec lui : vous aurez alors de très grands risques de ne plus jamais les revoir, sauf peut-être à leur majorité, s’ils reviennent de leur propre gré et par leurs propres moyens.
Si vous êtes encore dans le doute à ce sujet, je vous suggère de voir le film ou de lire le livre "Jamais sans ma fille", basé sur une histoire vécue, celle de Betty Mahmoody, une Américaine qui a épousé un musulman. Ou encore de lire les nombreux témoignages de femmes qui ont croisé le chemin d’un musulman et qui l’ont depuis amèrement regretté. Parmi les témoignages, celui envoyé au professeur Sami Aldeeb, qui vous renseignera sur le totalitarisme de l’islam : Mahomet a donné une liste de 5 animaux nuisibles et qui doivent être tués, dont le chien. Depuis, cet animal est devenu impur pour les musulmans.
Épouser un musulman n’est pas un acte anodin, cela peut même être une expérience vitale. Les vies que vous sauverez sont votre propre vie et celle de vos futurs enfants.
Alors, faites mentir Allah et son faux-prophète, par votre jugeote, par votre discernement et par votre intelligence.