La police du Bengale Occidental a arrêté Mohammad Kalou, l'un des accusés dans le viol en bande (gang-rape) d'une jeune fille.
Les 5 autres criminels sont toujours en fuite.
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Six musulmans violent une jeune fille à la sortie d'un prêche
Manifestation dans le Bengale occidental, en Inde pour attirer l'attention sur l'épidémie de viol.
Six musulmans auraient violé une jeune fille dans la nuit du 16 Janvier, alors qu'elle rentrait chez elle après avoir assisté à une réunion de "jalsa islamique" (nom donné aux réunions religieuses) dans le village voisin. Les violeurs ont agressé la jeune fille dans un champ puis l'ont abandonnée au bord d'une rivière.
La réunion portait sur le statut des femmes dans l'Islam et notamment sur la manière "d'utiliser les filles et les femmes musulmanes pour un plaisir sain" conformément aux prescriptions islamiques mais aussi dans le but de procréer.
Dans cette "Jalsa", l'importance du mariage précoce a également été abordée, ainsi que l'obligation de suivre la voie tracée par le Prophète Mahomet, lequel a pratiqué la Mufa’khathat (le fait de frotter son pénis contre les cuisses, sans pénétration) sur Aïcha. Il faut rappeler que Mahomet s'est marié avec Aïcha quand elle avait 6 ans et qu'il l'a déflorée à 9 ans.
L'auditoire musulman a bien profité de ces discours saints sur le sexe et Mohammad Kalu et ses cinq acolytes démoniaques ont dû être bien excités. Ils ont repérés Rina (son nom a été changé), une jeune fille présente à cette réunion, puis l'ont violée dans un champ et l'ont abandonnée à son sort.
La jeune fille a déposé une plainte au poste de police Chakulia contre les 6 violeurs de son village le 22 Janvier.
Un membre important du comité CPI-M du district nord de Dinajpur, M. Subir Biswas, a déclaré que les "'incidents" [sic] dits de "taquinerie", ainsi que les viols, sont devenus monnaie courante dans l'Etat, et que les policiers se comportent comme de simples spectateurs.
"La jeune fille a été violée il ya environ 10 jours, et malgré la plainte déposée avec eux, la police a essayé de dissimuler l'incident", a allégué M. Biswas.
Il a ajouté que la police a arrêté un des 6 criminels seulement après que la nouvelle avait fait la "une" des journaux, ajoutant que les policiers craignent de procéder à d'autres arrestations.
Les responsables religieux islamiques ont pris la défense des violeurs, disant qu'ils "ont été attirés par ses seins voluptueux et que ses habits n'étaient pas pardah" [ne cachaient pas son visage et ses mains de façon appropriée sous une burqa].
Si Rina s'était couverte du voile islamique, elle n'aurait pas été violée, déclare le responsable d'une mosquée locale.On se remet en mémoire l'histoire de cette norvégienne violée à Dubaï et qui avait été condamnée, pendant que son violeur n'avait pas été inquiété.