Apostat Kabyle AK

L’Occident et sa lâcheté face au défi imposé par l’islam

 

 
L’expression «cela n’a rien à voir avec l’Islam» se retrouve partout, après chaque nouvelle horreur commise par les disciples de Mahomet. Dans la bouche des politiciens comme dans les articles des journaux, cette formule devient incontournable. On ne peut même pas dire que cette vision idyllique que cherchent à imposer de force politiciens, médias et analystes de tous bords fausse le débat, car dès qu’il s’agit de l’islam, il n’y a plus de débat possible. Seul prévaut le lancinant discours sur l’islam religion-de-paix-d-amour- , etc. On en arrive à un point où la question qui se pose est de savoir si cette indulgence envers l’islam doit être comprise comme un simple aveuglement de la part de ces «spécialistes» ou bien si c’est pire que tout, de la traîtrise ou de la compromission. 
Au mépris de toute vérité, l’Occident en arrive même à accuser sa propre société d’être à l’origine de la terreur, en présentant les terroristes comme «des victimes sociales issues des milieux défavorisés», ou plus généralement comme des «victimes du colonialisme». Et ce, y compris dans les pays qui n’ont pas de passé colonialiste comme la Suisse, l’Autriche et les pays scandinaves. Alors que tout le monde ou presque sait que le terrorisme n’est pas simplement la conséquence de la «ghéttoïsation» des musulmans de l’Occident ou la répercussion du colonialisme, mais qu’il est bien le fruit de cette politique du pire menée par les riches émirs pour affaiblir l’Occident et ainsi redonner à l’islam l’espoir d’assouvir enfin le vœu le plus cher de Mahomet : l’hégémonie de l’islam sur l’ensemble de l’humanité. 
 
Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul (coran, 2:193 et 8:39). 
D’ailleurs, sans la manne extraordinaire déversée par les émirs, il n’y aurait probablement quasiment pas de terrorisme, du moins pas de terrorisme structuré à l’échelle mondiale. Alors que l’argent sale de «nos amis» saoudiens, qataris ou autres, a fini de radicaliser même les plus pacifiques des sectes musulmanes, à l’exemple des Cham-Bani du Vietnam, par l’intermédiaire des salafistes de la Tablighi Jamâat, mouvement missionnaire alimenté en pétrodollars par les Saoud. Ou encore à l’exemple des musulmans du Myanmar, en conflit ouvert avec les bouddhistes, alors que ces deux communautés vivaient sans se soucier l’une de l’autre avant que les mosquées de ce pays ne soient livrées aux prédicateurs «radicaux» sortis des Universités de Médine ou d’al-Azhar.
A ce propos, le terme «radicaliser» n’est pas adapté. On devrait plutôt parler de retour aux sources de l’islam, un retour ordonné par les Saoudiens. Car ce sont bien les Saoudiens, gardiens du dogme, qui ont imposé le wahhabisme et le salafisme qui triomphent partout aujourd’hui. Un triomphe qui risque de mal se terminer, par la faute de ces élites qui nient la réalité.
L’islam qui prévaut aujourd’hui est ainsi : agressif et belliqueux, à l’image de son prophète. Il n’a qu’une seule loi, celle inscrite dans le coran, et un seul objectif, soumettre le monde. Une loi disséquée, interprétée et commentée par les grands savants de l’islam, de la plus rigoureuse des manières. Ce qui fait que l’argument qui consiste à dire que c’est une question d’interprétation n’est pas recevable. La preuve en est que les dirigeants des Frères musulmans, tout comme les dirigeants de la plupart des organisations classées terroristes, sont issus des grandes Universités islamiques. Mention spéciale aux dirigeants de l’Etat Islamique, issus de l’Université la plus réputée du monde sunnite: al-Azhar du Caire. Tout comme Youssef al-Qaradawi, le terroriste Ahmed Yassine (cheikh Yassine) et ... Dalil Boubakeur! Rien que du joli monde. 
 
 
Les musulmans n’admettent pas que l’on puisse faire jouer la réciprocité. Ils crient au racisme dès lors qu’un État occidental refuse de céder à une de leurs revendications sur son propre territoire, même si cette demande est contraire aux lois du pays. C’est tellement vrai que la célèbre expression «accommodements raisonnables» n’est pas raisonnable pour tout le monde, elle est plutôt faite d’abandons successifs faits par les Occidentaux. A cause de cette crainte toujours présente d’être taxés de racistes ou d’intolérants. C’est ce qui a, par exemple, incité la Grande-Bretagne à autoriser sur son territoire les tribunaux de la charia. Elle commence à payer cette grave faute car elle est actuellement secouée par une crise majeure, liée à la découverte de nombreux cas de femmes musulmanes victimes de violation flagrante de leurs droits élémentaires par ces tribunaux de la charia, des tribunaux légaux qui ont pris la place de la justice britannique.
Autre pays qui regrettera sa politique d’accommodements: le Canada. Particulièrement le Québec. Voici une petite liste des «accommodements raisonnables» concédés par le Canada aux musulmans qui, de leur côté (et c’est de bonne guerre), ne sont prêts à aucun compromis:

- Un employeur doit faire tous les efforts possibles d’aménagement d’horaires pour permettre à ses employés de respecter leurs prières et fêtes religieuses.
- Les élèves et professeurs musulmanes peuvent porter le voile intégral dans les écoles, publiques ou privées.
- A Montréal, Héma Québec organise des collectes de sang ethno-religieuses halal.
- Encore à Montréal, le Complexe sportif Marie-Victorin réserve chaque dimanche sa piscine à une association musulmane dirigée par l’imam Ali Sbeiti, pour l’usage exclusif des musulmanes. Femmes sensibles au possible: elles ne sauraient patauger dans le même bouillon que les hommes ... Mais il manque une info essentielle : est-ce que la piscine est vidée à chaque fois ?
- Dans la province de l’Ontario, les autorités scolaires trouvent normal que les filles soient assises derrière les garçons à la cafétéria transformée en mosquétéria le vendredi, et que celles qui ont leurs règles soient ostracisées pour cause «d’impureté» en étant forcées de s’asseoir à l’écart des autres pour éviter de les «polluer». 
 
Il faut rappeler que Justin Trudeau, chef du Parti Libéral canadien, a récemment déclaré que «le port du niqab est acceptable en tout temps et en tout lieu au Canada». Dans son refus de voir la réalité, il est contredit par tous les «indicateurs sociaux», notamment un sondage récent qui dit que les musulmans du Canada sont 42% à penser que l’islam et l’Occident sont «inconciliables», tandis que 63% des protestants, 62% des juifs, 60% des catholiques et 46% des non-croyants canadiens pensent que l’islam ne peut pas coexister avec la culture occidentale. 
 
Avec cette conséquence terrible, qui finira par se payer très cher : on cède tout aux musulmans, pour ne pas les fâcher, sans jamais leur demander la moindre contrepartie. Alors que l’Occident est noyé par les projets de construction de nouvelles mosquées, l’ensemble des pays musulmans signataires de la Charte de la Coopération Islamique interdit aux (peu de) chrétiens encore présents sur leur sol de faire du prosélytisme. Dans la très grande majorité de ces pays, il est interdit de faire entrer des bibles et de construire de nouvelles églises.
La réponse des musulmans ? Elle ne varie pas d’un pays à l’autre : «Il y a aussi des églises dans nos pays, alors que le nombre de chrétiens diminue».
A quoi on pourrait rétorquer que, si l’islam laissait aux autres religions la liberté de s’exercer librement en terre musulmane, ce que fait l’Occident pour l’islam, et si les musulmans arrêtaient de réprimer, d’opprimer et de massacrer les non-musulmans, leur nombre ne serait pas en constante diminution! Mais ce serait oublier que l’islam se considère supérieur à tout le reste et que les musulmans sont eux aussi supérieurs à tous les autres humains, que par conséquent, tout leur est dû et en revanche, ils ne doivent rien à personne. C’est le coran qui le dit et le répète à longueur de versets. 
 
Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers (coran, 3:110). 
Pendant que les chrétiens sont ainsi opprimés et décimés en terre musulmane, l’Occident continue béatement d’inaugurer de nouvelles mosquées. Ce qui pousse les musulmans à l’escalade dans les revendications, jusqu’à l’outrance. Le recteur-imam Dalil Boubakeur pousse la provocation de manière à peine déguisée jusqu’à déclarer vouloir doubler le nombre de mosquées en France dans les deux ans à venir. 
Pendant qu’en Occident, les mosquées sortent de terre comme des champignons, dans le monde musulman, les églises sont rasées ou transformées, à l’image de Sainte-Sophie en Turquie. A l’image aussi de deux églises de Kabylie que je connais très bien: celle d’Azazga, transformée en mosquée, et celle de Mekla, transformée en centre de sécurité sociale. Alors qu’une Nation respectueuse des autres et d’elle-même les aurait conservées telles quelles, ne serait-ce qu’au titre du patrimoine. 
 
à suivre ...
 
Aqveyli N-Jerjer
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01/05/2015
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