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Chroniques de l'islamisation de l'Europe - Pays Bas - Les Mensonges et les menaces de l'École islamique hollandaise

La France est un pays où l'on a une culture particulière en matière de détournement de l'information, de manipulation des faits et de volonté de protéger une communauté (c'est bien connu, les délinquants en France s'appellent Vladimir et Francis! ) .   
On en est réduit à chercher ailleurs en Europe de quoi se faire une opinion sur l'étendue des dégâts. Et cet ailleurs ne fait pas partie de ces "méchants pays colonisateurs qui doivent assumer aujourd'hui les conséquences de leur domination passée", puisqu'il s'agit des Pays-Bas.

Les Hollandais aussi sont victimes de la manipulation de l'information, mais un peu moins qu'en France, où le silence sur certains faits est total et unanime.
Mais si l'information ne paraît pas en France, couvée par les médias au garde-à-vous, ailleurs c'est légèrement différent: de temps à autre, un scandale éclate. C'est le cas de celui qui a touché une des plus grandes écoles islamiques du pays. 

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Les Mensonges et les menaces de l'École islamique hollandaise et autres escroqueries
Article de Abigail R. Esman, 19 Juillet, 2013, librement traduit depuis investigativeproject.org

Logo de l'école ibn Khaldoun


Les étudiants menacent les enseignants. Les enseignants menacent les étudiants. Corruption dans les salles de classe, dans les couloirs, ce qui, à terme, est appelé à devenir un scandale national - voila ce qui fait partie de la vie quotidienne dans une école secondaire islamique de Rotterdam. Là, selon un récent article paru dans le quotidien néerlandais NRC Handelsblad, les enseignants non-musulmans subissent des pressions pour faire passer des étudiants musulmans qui ont échoué, tandis que des professeurs musulmans donnent des cours secrets, instruisant leurs élèves sur les méfaits de la culture européenne.

Et ce n'est qu'une partie de l'histoire.

L'école Ibn Khaldoun a une longue histoire dans la controverse et elle s'est retrouvée récemment sous les feux des projecteurs après qu'on ait découvert qu'un groupe de ses étudiants avait volé les copies de l'examen national final et qu'ils les vendaient sur internet à tous les étudiants hollandais. Des dizaines d'étudiants ont été pris à tricher, y compris au moins une jeune femme qui, après avoir étudié les réponses, les a enregistrés sur son smartphone qu'elle a mis en marche durant l'examen, ses écouteurs cachés sous son hijab. Résultat: les tests ont dû être reportés, obligeant les familles à renoncer à leurs vacances qu'elles avaient planifié à l'avance, perdant ainsi le prix du voyage et du séjour. 

Les enquêtes sur les vols ont révélé une corruption profondément enracinée et les enquêteurs ont été amené à réexaminer les précédentes affaires "sales" de cette école islamique, le seul collège d'enseignement général islamique du pays. En 2007, par exemple, les administrateurs de Ibn Ghaldoun ont été pris pour avoir utilisé frauduleusement plus de 200.000 € de subventions gouvernementales: affectées normalement pour l'achat de livres et pour des sorties scolaires éducatives locales, ces sommes ont servi à envoyer 200 élèves et leurs familles non pas, disons, au Rijksmuseum ou à la Maison d'Anne Franck à Amsterdam, mais à La Mecque. 


Près de deux cents personnes aux frais du gouvernement hollandais à La Mecque


Pour aggraver les choses, les administrateurs scolaires ont alors créé de faux reçus et des fausses factures pour dissimuler cette attribution frauduleuse des fonds publics.


D'autres sommes d'argent semblent avoir été données la même année pour les imams locaux, non officiellement affilié à l'école, y compris le radical Khalil El Moumni, connu entre autres, pour traiter régulièrement les homosexuels comme étant "pire que des porcs".


Dans ce dernier scandale, l'école a fait l'objet d'un examen plus minutieux. Et les découvertes des enquêteurs suggèrent que les problèmes touchent toute la population musulmane de Hollande et sont beaucoup plus complexes - et potentiellement graves - que ce qui a été reconnu à ce jour.

Ce n'est pas seulement plusieurs centaines de jeunes musulmans de Rotterdam qui fréquentent une école où le mensonge et le vol sont de toute évidence la norme pour l'administration, mais surtout c'est la création d'un environnement dans lequel les valeurs et les principes fondamentaux du droit et les valeurs sociales occidentales sont rejetés et ignorés. Le plus grave est que le modèle instauré dans cette école est celui qui non seulement ignore la loi néerlandaise, mais qui la défie. 

Ce qui est pire, c'est que ces leçons, selon le quotidien NRC Handelsblad, sont effectivement enseignées directement: dans une discussion avec sept enseignants non-musulmans de l'école (qui prétendent tous avoir pris ces emplois dans l'espoir d'améliorer les chances des jeunes musulmans défavorisés), le journaliste Andreas Kouwenhoven a découvert que des "groupes d'études" ne s'avèrent pas être des groupes d'étude du tout. Au contraire, un professeur de Ibn Ghaldoun lui a dit, "ils s'agit de classes visant à endoctriner les étudiants et les leçons sont dirigées contre la culture néerlandaise: les filles ne devraient jamais se marier avec un garçon néerlandais ou un non-croyant [non-musulmans]".

D'autres ont déclaré à la NRC que les parents participent fréquemment à cette culture du mensonge répandue à l'école, faisant régulièrement pression sur les enseignants pour élever le niveau scolaire de l'enfant ou même faire passer un étudiant défaillant. Il est navrant, cependant, de constater que quelques enseignants ont de fait capitulé. Quelques types de menaces ont été cités - un enseignant a prétendu que sa voiture a été vandalisée quand il a refusé d'élever les notes d'un élève. D'autres ont reconnu avoir gonflé les notes et donné secrètement de nouvelles chances aux élèves musulmans hollandais, estimant que ceux-ci éprouvent des difficultés à "naviguer" dans la société néerlandaise et donc, méritent une certaine latitude - ceci même lorsque la plupart des étudiants de Ibn Ghaldoun sont nés et ont grandi aux Pays-Bas. Non seulement les étudiants qui auraient échoué ont été autorisés à passer, mais même ceux qui avaient séché ou raté complètement l'examen ont reçu des diplômes. (Le directeur de Ibn Ghaldoum, Ayhan Tonca, n'a pas répondu aux demandes de commentaires pour cet article.)

Les conséquences de tout cela sont importantes. Le taux de chômage parmi la population musulmane néerlandaise, en particulier chez les Marocains, est de 15 %, comparativement à 8 % chez les non-musulmans. Bien plus de musulmans vivent dans la pauvreté. 

Au total, en 2012, il y avait plus d'un demi-million de chômeurs aux Pays-Bas
Photo: ANP


Ces faits sont souvent cités comme raisons du taux élevé de criminalité dans la communauté musulmane (et surtout marocaine), et comme preuve que les musulmans sont victimes de discrimination par les employeurs non-musulmans. Mais la situation à l'école suggère que les problèmes sont plus profonds, ils sont dans une approche systémique et culturelle pour manoeuvrer à travers la vie et la gestion d'une situation défavorable: le mensonge, la tricherie, les menaces.

(Quant aux allégations de discrimination sur le marché du travail, on ne peut s'empêcher de se demander: le fait que deux enfants terminent leurs études avec sensiblement la même note ou la même moyenne peut faire apparaître l'égalité entre ces candidats à un emploi, mais si l'un d'eux a reçu ce diplôme en dépit du fait qu'il ne peut pas écrire une lettre cohérente de sollicitation de travail, dans ce cas il est probable qu'il ne s'agit pas simplement d'un problème lié à un groupe éthnique.

Qui plus est, le défaut d'assimilation ne vient pas, dans ce cas, de quelconques discriminations ou difficultés d'adaptation, mais se trouve être comme une stratégie délibérée de promouvoir pas seulement par les imams radicaux des les mosquées, mais par les écoles.

Certes, Ibn Ghaldoun est l'une des nombreuses écoles islamiques dans le pays (même si elle est, de manière significative, l'unique lycée islamique). Mais ce n'est de loin pas la seule école qui enseigne expressément aux étudiants à s'opposer aux normes néerlandaises ou à résister à l'occidentalisation. En fait, un rapport de 2008 a montré que 86% de ces écoles avaient fraudé le gouvernement, pour un total de plus de 2 millions d' € , tandis que le rapport plus récent du gouvernement a montré que 30 % des écoles islamiques aux Pays-Bas ont des liens avec le Hamas et / ou les Frères musulmans.

Cela peut expliquer la montée de l'extrémisme dans le pays ces dernières années, et le flux croissant de musulmans néerlandais partis faire le djihad en Syrie - tendance qui a obligé les responsables néerlandais à lever le niveau d'alerte terroriste à son niveau le plus haut.

Il ne s'agit pas de s'opposer à l'existence d'écoles musulmanes en principe (1), pas plus que contre la présence de, disons, les Yeshivas [école juive (2)]. Mais si l'islam correspond à ce qui est enseigné à Ibn Ghaldoun et dans les écoles semblables, alors non seulement la Hollande, mais toute l'Europe - et l'Occident seraient beaucoup mieux sans eux. Le temps, en tout cas, est venu d'arrêter de dorloter ces enfants, et de cesser de trouver des excuses pour justifier leurs comportements. L'Occident doit enfin demander que ces enfants musulmans fassent partie de notre tissu culturel et moral - à partir de la salle de classe (3).

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Surtout ne pas se faire d'illusions sur ce qui se passe en France: les premières écoles islamiques fonctionnent depuis quelques années, et le même enseignement est pratiqué, dans les mêmes conditions, par le même groupe éthnique, portant sur le même contenu: le coran et la sunna. L'enseignement et les arrangements musulmans qui, à terme, puisque rien ne semble pouvoir réveiller les endormis, conduiront la France (et l'Europe), à adopter pleinement la charia. Ce qui a été dévoilé à Rotterdam se pratique partout en Europe, qui ne semble pas de taille à y faire face et semble plutôt prête à capituler qu'à retourner la situation. Le temps joue en faveur des musulmans. 


L'islam a déclaré la guerre à l'Occident, mais l'Occident ne le sait pas encore.


(1) Pourtant, la logique est justement de s'y opposer, de faire subir à ces écoles une surveillance et un contôle (dont le coût serait à déduire du montant de la subvention) de manière à s'assurer qu'elles appliquent bien le programme national et lui seul. Dans le cas contraire, l'arrêt des subventions n'est pas suffisant: l'école doit purement et simplement être fermée. 
(2) Mais pourquoi faire l'amalgame avec les écoles juives? A ma connaissance, on n'y enseigne ni la haine de l'Occident, ni le djihad armé contre les kouffars, ni l'objectif final de convertir l'ensemble de l'humanité.
(3) Conclusion bien plus que naïve. Je ne la partage bien évidemment pas. Cela fait 40 ans ou plus qu'on nous parle d'intégration, mais le résultat est là: on ne peut pas intégrer un groupe d'individus malgré lui, surtout quand son but final est de vous ... désintégrer.



11/08/2013
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